On trouve ici ou là, dans des articles ou des livres sur Stendhal, la citation de la phrase suivante : « Si tu as une chemise et un cœur, vends ta chemise et va vivre en Italie ». Je l’ai déjà rencontrée plusieurs fois, et je l’aime bien : je lui trouve une certaine fraîcheur désinvolte, assez séduisante. En tout cas, elle me paraît très stendhalienne, et j’avoue qu’il m’est déjà arrivé de la citer, à mon tour, pour faire comprendre à mes interlocuteurs l’essence de l’ âme sensible de Beyle, notamment en la mettant en rapport avec le dernier chapitre de la Vie de Henry...
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