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(1942)
On ne rendra jamais assez grâce à Montherlant d'avoir, en plein vingtième siècle, fait résonner sur la scène française le son de la "gravitas" chère aux Romains, dans une langue superbe et altière. Un théâtre de l'orgueil et du mépris, de la grandeur et de la faiblesse, si dissonant au milieu de la vulgarité des sous-Artaud pétomanes qui occupent Avignon depuis la mort de Vilar...