J’ai lu ce roman dans la réédition parue aux éditions de l’Herne en 1978. La couverture empruntée à Goya, le résumé du revers, certains jugements flatteurs faisant de ce livre « le plus grand roman occultiste de la littérature française », et jusqu’au nom de l’auteur, tout m’avait persuadé qu’il devait s’agir d’un roman ésotérique, envoûtant, classieux, explorant les dessous ténébreux de l’Histoire à la lumière d’un grand style capable de sorcellerie évocatoire . Ceci ne fait-il pas rêver ? : « Grâce à la Confrérie des Chevaliers de l’Apocalypse, fondée en...
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