06.06.2012
LE FRONT NATIONAL RÉFUTÉ À LA MONTESQUIEU
Si j’avais à réfuter les thèses du Front National, voici ce que je dirais : . Entre un parti qui attire l’attention sur un péril possible, et un parti qui répète qu’il n’y a rien à craindre, il est évident qu’il faut suivre le second, puisque le premier, en minant notre confiance en l’avenir, ne peut nous y faire entrer qu’à reculons (mais appliquer ce principe aux écologistes serait perdre le sens commun). . Il n’y a pas lieu de considérer l’insécurité comme un problème notable, car celle-ci est une pure création des médias irresponsables et...