10.02.2017
LA GERMAINE ET LA PLÉIADE FONT LE TROTTOIR
Il y a un mois, j’ai découvert avec consternation, mais sans étonnement, que la Pléiade annonçait la parution d’un volume d’œuvres de Mme de Staël . Avec consternation, car je tiens Germaine de Staël pour un écrivain de deuxième ordre, certes pas complètement inintéressant , mais dont l’entrée dans la Pléiade ne s’imposait pas. Sans étonnement, car, en observateur hyper-attentif et avisé de ce Panthéon littéraire, je me suis aperçu depuis un moment que, sous la direction d’Hugues Pradier, la Pléiade part à la chasse aux lecteurs et mise donc à fond sur les secteurs...